La scène introductive suffira-t-elle toute seule pour résumer ce petit récit balisé,dont le scénario linéaire volontairement enflé laisse déjà entrevoir dès le début l’accès à la violence attendu d’avance des petites gens. L’instrumentalisation du misérabilisme crève les yeux à l’écran, seul le décor, un quartier moité en ruine moité «désertique» relève la beauté de la photographie.
Tjs dans l’idée de trahison et de rivalité générationnelle,pr l’histoire d’1 citadine à la vitalité expansive, NB adopte 1 écriture fluide dans 1 liberté débridée brossée par des coups de pinceaux caricaturaux, 1 forme de symbiose avec ses acteurs mêmes secondaires